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mardi 17 juillet 2018

La destinée des désolations




Mais une bonne balle dans la tête résolvait souvent la plupart des conflits naissants, n'est-ce pas ?


Synopsis :

Dans un futur proche, Casey Alexander parcourt les restes du monde, avec un seul but en tête : trouver un havre de paix. Au cours de son périple, il rencontrera ses futurs alliés... Comme ses futurs ennemis ! En leur compagnie, Casey tentera l'impossible pour survivre et trouver une terre accueillante où vivre...

Ce premier tome de la saga littéraire "La destinée des désolations" est une introduction à cet univers bien particulier.
Les aventures de Casey Alexander se poursuivront sur de nombreux ouvrages (le tome 2 sortira en 2019).

Le prix de vente des versions papier et numérique est volontairement bas, car il est important de laisser la lecture de l'imaginaire à la portée de tous (c'est important !)

Avis :

Ce n’est pas un livre vers lequel je me serai immédiatement retourné dans une librairie ou sur internet, je n’aurai pas pris le temps de lire le résumé ou de feuilleter le bouquin, pour la simple et bonne raison que ce n’est habituellement pas mon genre de lecture. D’habitude je suis plutôt bit-lit, fantastique mais pas sciences-fictions.

Parlons un peu des personnages principaux, tout d’abord Casey.
Rien que le prénom, j’adore ! Personne que nous suivons le plus au cours de ce tome et qui me semble le plus intéressant ! Il a su se débrouiller seul, et surtout survivre seul !
Le deuxième personnage que je trouve charismatique est Isabella, reine d’une ville (?), une des rares qui a survécu ! On sent son aura de dirigeante à travers les mots, ce qui est d’autant plus appréciable c’est que c’est une femme, et elle a sut se faire respecter !

Le vrai point fort de ce roman, c’est la fluidité avec laquelle il se lit. Il est vrai que j’ai eu du mal au début en raison des longs paragraphes sans dialogues, mais vous avez l’hébétude maintenant, vous savez qu’il me faut de l’action !

Et c’est seulement pour l’action que j’ai lu ce livre au début, car, comme je vous l’ai dis plus haut, la science-fiction et moi, ça fait deux (je ne suis peut être pas tombé sur le bon livre encore). Mais j’ai bien fais, car j’ai beaucoup aimé ma lecture !

Le fait qu’elle soit aussi courte était aussi agréable pour une débutante comme moi dans ce genre littéraire, les longs paragraphes -quoi qu’ennuyeux pour moi- m’on bien fait comprend le contexte de l’histoire.

Mais le meilleure est la fin, on reste sur un suspense qui nous donne envie d’avoir rapidement la suite entre les mains !

Auteur : Arnaud Niklaus
Éditeur : Arnaud Niklaus
Pages : 77
Parution : 8 Mai 2018


lundi 16 juillet 2018

Pour l'amour d'une Sasunnach



Cet homme avait décidé de lui rendre la vie impossible
Synopsis :
Ecosse, 1374 Pour apaiser les tensions scotto-anglaises de la fin du XIVe s., le roi d’Angleterre Edouard III offre en mariage, avec l’appui du monarque écossais, les trois plus belles filles nobles de son royaume aux trois plus puissants seigneurs d’Ecosse. Ian MacAlistair, seigneur d’Argyll, a le mariage en horreur et ne porte guère les Anglais dans son cœur. Les Highlanders refusent l’idée même de cette alliance et Ian chérit sa liberté plus que tout au monde. Tiraillé entre raisons personnelles et géopolitiques, entre passé et avenir, sa tête et son cœur, Ian doit choisir : céder, et affronter les foudres de ses compatriotes, ou refuser, et déclencher l’ire du roi d’Angleterre. En accueillant la jeune Anglaise aux charmes indéniables sous son toit le temps de discuter de sa décision avec les chefs de clan voisins, Ian rencontre son destin. Une romance à l’écossaise, à la fois historique et teintée d'érotisme, ancrée dans le cadre et l'imaginaire idylliques de l'Ecosse médiévale.

Avis :
Quel plaisir j’ai eu de lire ce livre ! Je tiens à remercier l’autrice de m’avoir offert une copie de son livre.
                Commençons par le commencement : nous sommes en Ecosse en 1374, les tension scotto-anglaises sont telle, que le roi d’Angleterre décide de donner en mariage les trois plus belles filles nobles de son royaume aux trois plus puissants seigneurs d’Ecosse.
                Nous allons suivre l’histoire d’un de ces seigneurs : Ian MacAlistair. Celui-ci a le mariage en horreur, et -comme la plupart des écossais à cette époque- ne supporte pas les anglais. Malheureusement, Ian sera limité en choix : refusé la proposition et risquer la guerre avec le roi d’Angleterre ou bien accepté et risquer la guerre avec les seigneurs écossais voisins. Que va-t-il choisir ? La venue d’Alannah va-t-elle le décider ?

                J’ai beaucoup aimé ce roman, et l’une des principales raisons c’est qu’on retrouve vraiment le thème de l’histoire dans le livre ! Dans la plupart des romans historiques, on a quelques mots écossais qui traînent, mais sans plus. Dans ce livre, on apprend vraiment des choses, a-t-elle point, qu’il m’a fallu à quelques moments aller chercher des renseignements sur internet ! Chose qui m’étais jamais arrivée avant ! J’ai beaucoup aimé aussi le petit cours géopolitique, c’est toujours un thème qui m’a passionné, savoir qui fait pression sur qui et comment etc.
                Le deuxième point positif est pour moi, le jeu du chat et de la souris entre Ian et Alannah. Celle-ci ne succombe pas immédiatement à Ian, non ! Elle va le faire ramer ! Pendant les trois quart du roman on a droit à leur joute verbale et le rapprochement se fera petit peu par petit peu.
                Le troisième et dernier point positif dont je vais parler est l’histoire en elle-même : le coup de livrer une femme à un seigneur pour maintenir la paix est un classique me diriez-vous, oui, certes mais dans ce roman tout est différent. Oui Alannah est offerte à Ian, mais c’est pas pour autant qu’on va s’ennuyer, et ceux grâce notamment à la fin qui est totalement inattendue !
                Passons aux point négatif, car oui, bien que j’aie aimé, il y a quand même quelques trucs qui m’ont chiffonné. A commencer par la naïveté d’Alannah, je ne peux pas vous dire pourquoi car je risquerai de vous spoiler, mais quelques-unes de ses réaction m’on donné envie de la gifler pour la réveiller, où en tout cas essayer !
                Le second point négatif qui n’en ai pas vraiment un, c’est la longueur, c’était trop court ! Je l’ai tellement aimé cette lecture que je ne voulais jamais m’arrêter ! J’ai passé un très bon moment, et quelques pages de plus ne m’aurais pas déplut !
                En bref, si vous cherchez un vrai roman érotico-historique, je vous conseille fortement celui d’Aurélie Depraz !



Auteur : Aurélie Depraz
Editeur : Aurélie Depraz
Parution : 4 Juin 2018
Pages : 200
Blog 

lundi 2 juillet 2018

Friend Zone de Mickaël Parisi





Quand viendra la fin, ils ne penseront qu'au début.

Synopsys : Thomas Grant est un détective privé, n'existant plus légalement aux yeux du monde, et offrant ses services sur le "Dark Web". En plus d'être intolérant et misogyne, son addiction à l'alcool et aux armes à feu font de lui un être ingérable dans chaque situation impliquant un quelconque rapport social. Sa route va croiser celle d'Opaline, jeune fille Végan, dont le frère s'est retrouvé embrigadé dans une secte intitulée "Les trentenaires". Persuadé de pouvoir sauver facilement le frère d'Opaline, Grant se lance dans une mission sauvetage sans plan et sans idée. Tout ne se passera évidemment pas comme prévu...

Que ce soit dans un bar en Thaïlande réservé aux fichés S, dans une boîte SM, dans un abattoir ou encore dans un village de chasseurs, "Friend Zone" spin-off de Néant du même auteur et OVNI de la rentrée littéraire 2017, vous mènera dans le grand n'importe quoi. A signaler également la présence du premier personnage végane de la littérature Française


Avis : 
Tout d’abord j’aimerai remercier l’auteur de m’avoir offert un exemplaire de son livre, « Friend Zone » est un spin-off de son premier roman « Néant », personnellement, je n’ai pas lu « Néant » ce qui n’a en rien empêché la compréhension de « Friend Zone » !
 Nous retrouvons donc le même personnage principal : Thomas.
Aah, Thomas, alcoolique à ses heures perdues, sociopathe, obsédé sexuel, fan d’armes à feu, vulgaire et accessoirement détective privé offrant ses services sur le « Dark Web ». A-t-il une qualité ? me demanderez-vous, eh bien il a un foie a tout épreuve !
Et puis nous avons Opaline, douce jeune fille végan qui cherche à sortir son frère d’une secte appelé « Les Trentenaires », qui se transforme en folle de la gâchette au fur et à mesure de la lecture.
Vous l’aurez donc compris, Opaline va faire appel aux services de Thomas pour essayer de sortir son frère de cette secte.

                Il est vrai que quand j’ai lu le résumé, je m’attendais à une enquête, des filatures… Bref, ce que promet un roman policier d’habitude, cependant, plus j’avançais dans la lecture, plus la mission de sauvetage passait au second plan. Notamment lors de la deuxième partie du livre, où, là, tout est partie en vrille si je puis dire ! Des fusillades en veux-tu en voilà, des pétage de plomb de la part de notre Végan, bref, je me suis demandé ce qu’il se passait. J’ai trouvé que nos deux « héros » avaient beaucoup de chance de ne pas se faire attraper par la police, ce qui m’a un peu freiné dans ma lecture, je trouvais ça trop « gros ».  Ce que je n’ai pas apprécié non plus, c’est les dialogues tout en majuscule, pour moi, ce n’est pas agréable à l’œil.
                Mais malgré ces petits détails, le livre en vaux vraiment le coup ! Thomas et sa vulgarité qui donne un coup de fraicheur, Opaline et son amour pour le véganisme, et puis le côté un peu délirant du livre ! ce n’est pas tous les jours qu’on peut lire un livre comme celui-ci !
                En effet, dans ce livre on nous parle d’un sujet qui peut fâcher : le véganisme. Mais on nous le parle de façon légère, sans prise de tête, sans discours haineux d’un partie ou de l’autre, sans leçon de moral, on nous expose simplement des faits, pas plus, pas moins.
                En revanche, ce roman n’est pas fait pour tout le monde, ce n’est pas un roman dans lequel le personnage principal ce la joue Bad Boy, non, non, dans ce roman, Thomas est vraiment un type que l’on pourrait qualifier de « rater ». Il est vulgaire, mais vraiment vulgaire, il ne va pas se contenter d’un putain ici et d’un merde par-là, non, lui ce sera plutôt des insultes assez élaborées, voir même ridicule. Il y a beaucoup de violence aussi, est pas des plus sympathique, quand je parlais de fusillade, ce n’est rien comparé au reste du roman. Vous l’aurez donc compris, âmes sensibles, passaient votre chemin !
Auteur : Mickaël Parisi
Editeur : /
Parution : 29 Septembre 2017
Pages : 328


Mickaël Parisi :

Young romance : la trilogie

  Bonjour ! Aujourd’hui chronique divisé en trois parties car c’est l’intégrale d’une trilogie écrite par Annie Lavigne que je vous présente...